L’EFFACEMENT PROGRESSIF

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L’intérieur du bâtiment était plongé dans une semi-obscurité. L’étranger avançait mollement, ses pas résonnant sur le sol de marbre usé. Les murs étaient ornés de fresques, mais contrairement aux teintes vives du carnaval, celles-ci semblaient éteintes, tels que si les siècles les avait vidées de toute substance. Il passa ses mains sur l’une d’elles et un store de poussière s’éleva, révélant des silhouettes divergents, figées dans des postures de chorégraphie. Ce côté renfermait des biographies que individu ne devait inclure. Il s’approcha d’un grand miroir fendu, placé en plein coeur de la audience. Son qui est à vous rayon lui fit portrait, mais des éléments n’allait pas. Il connaissait son visage, pourtant il avait l’impression de scruter un détaché. Était-ce déjà en train d’arriver ? Était-il en train d’oublier ? La voyance par mail sérieuse lui avait reçu que les chroniques, même effacé, laissait généreusement une tonalité. Il ferma les yeux, recherchant à différencier ce que ce question voulait lui imprimer. Un réflexion glacé sembla se changer auprès de sa nuque. Des portraits confuses émergèrent. Il vit l’île par-dessous un autre quantième, avant que le carnaval ne commence. Des têtes sans masque, des voix murmurant des noms oubliés. Puis, une brèche. Un ballant de véridicité. Il se vit lui-même, mais pas dans l’instant à utiliser. Il portait un autre masque, plus familial, dont les frimousse lui étaient inconnus. Il réalisa avec peur que ce carnaval ne durait pas qu’une année. Il durait depuis longtemps. Et ce que en faisaient éventaire perdaient non exclusivement leur passé, mais encore leur privée identité. Il ouvrit brusquement les yeux. Le vitre appelées à lui n’était plus fissuré. Il reflétait une version de lui qu’il ne reconnaissait pas. Son cœur battit plus rapidement. Il savait incessamment origine la voyance sérieuse par mail était taboue sur cette île. Car ceux qui voyait trop de façon plus claire risquait de comprendre l’illusion dans auquel il était enfermé. Il n’avait plus de temps. S’il ne quittait pas cette île immédiatement, il ne serait bientôt plus qu’une soupçon parmi ce qui dansaient dans l’éternité, par-dessous les voiles qu’elles n’avaient jamais fabriqués.
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